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  • : L'association des Arts Mélangers est née pour permettre la création de projets dans le théâtre, la danse, l'écriture, et tout autre domaine artistique.
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6 avril 2014 7 06 /04 /avril /2014 12:42

 

CES DEUX LIVRES SONT DISPONIBLES SUR LE SITE DE L'HARMATTAN

 


Ci joint un lien pour une vidéo faite à l'Harmattan sur le livre de Jean Pierre Weyland  "L'imparfait du subjectif"           http://www.youtube.com/watch?v=qtbzozI-coI

Ci joint un lien pour une vidéo faite à l'Harmattan sur le livre de Jean Pierre Weyland  "Je voulais vous dire que je n'ai pas été sourd"        http://www.youtube.com/watch?v=_bXgbJ1LDCMschl



Ci dessous la préface écrite par Alex Lainé de "je voulais vous dire que je n'ai pas été sourd"

 

PREFACE

 

DES SUJETS EN FORMATION

 

 

Des sujets en formation au double sens de femmes et d’hommes – formateurs  inclus - qui s’inscrivent dans un dispositif de formation, et en même temps – car ce n’est pas séparable – se constituent en tant que sujets davantage conscients de ce qu’ils sont et ainsi, deviennent un peu plus en mesure d’infléchir le cours de leur vie. Car on ne naît pas – ou pas entièrement – sujet, on le devient.

 

C’est de tout cela dont il est question dans le livre de Jean-Pierre Weyland. Et ce n’est pas rien.

 

Le texte que l’on va lire s’inscrit dans le genre du récit de vie : récit autobiographique de son auteur, fragments de récits de parcours de stagiaires dont il a été le formateur. Dans tous les cas il y a « pacte autobiographique » comme le dit Philippe Lejeune, c’est-à-dire identité entre l’auteur, le narrateur et le personnage central ou « héros » dont l’histoire est rapportée – avec sans doute une nuance à faire pour les quelques textes qui relatent les propos et parcours de certains parmi les apprenants aux côtés desquels l’auteur a cheminé. De ce point de vue, on doit parler de co-écriture et de co-auteur puisque ces textes ont été rédigés tantôt par les apprenants eux-mêmes, tantôt par Jean-Pierre Weyland, mais toujours publiés avec l’accord de celle ou celui dont ils disent le fragment de parcours. Des récits de vie à plusieurs voix, par conséquent.

 

Par ailleurs, on peut débattre à l’infini de la question de savoir s’il s’agit de récits de vie ou de récits de pratiques de formation professionnelle. Le livre montre une fois de plus que la question est sans objet tant la vie et la pratique professionnelle ou de formation sont inséparablement entrelacées dans ce qui constitue la tension du sujet vers une unité jamais définitivement acquise, toujours à conquérir.

 

Il y a donc du récit de vie, mais aussi du « roman d’apprentissage ou roman de formation » entendu  comme la narration du parcours d’un personnage – ici ce sont plusieurs personnages dont l’auteur lui même – qui apprend, se forme, se développe et de proche en proche s’autorise une parole propre, jusqu’à être en plus grande adéquation avec soi-même.

 

Une première caractéristique et qualité du livre de Jean-Pierre Weyland s’offre, étonne mais aussi séduit immédiatement : son style. On sait que « le style est l’homme même » comme l’écrivait Buffon. Dans son écriture, l’auteur n’a pas systématiquement recours au pronom personnel, au « je » de la narration autobiographique. Dans bien des cas, il utilise la forme impersonnelle et une quasi absence de sujet grammatical pour énoncer ce qu’il ressent, fait et pense. Cela frappe dès les premières pages. En voici un exemple à propos de son parcours :

 

Tombé très jeune dans la marmite de l’animation. Un grand jeu de brousse. Pris dans la sauce. Tourné en rôti. Amusant. Essentiel. C’est chaud et goûteux. Gluant et relevé. Légèrement appétissant. De quoi nourrir une vie. En parallèle : écrire, mettre en scène et grimper sur les tréteaux. Au-dessus. 

 

Cette manière qui fait dans la brièveté donne sa puissance au récit. Plus encore et curieusement, le sujet agissant, pensant, éprouvant et vivant, parce qu’il est là en creux, en supposé ou en implicite, est en réalité d’autant plus présent. Car cette manière de dire fait directement entrer le lecteur dans l’intimité du dialogue intérieur entre soi et soi qui n’est rien de moins que la subjectivité en acte à travers l’une de ses composantes essentielles : la réflexion.

 

La seconde caractéristique qui retient l’attention du lecteur relève du travail. Du travail et de deux métiers. Des métiers méconnus et fort peu reconnus : animateur socioculturel et formateur d’adultes. Car il s’agit de formation professionnelle « aux fonctions de l’animation » : d’abord animateur lui-même, Jean-Pierre Weyland devient formateur d’animateurs. Ce que ces deux métiers ont en commun, c’est d’abord leur manque de transparence et de définition claire. On ne sait pas très bien ce qu’ils recouvrent. Le second point de partage entre les deux métiers tient au déni de reconnaissance et de légitimité. L’un comme l’autre ont à voir avec la chose pédagogique et, pour cette raison, souffrent de la concurrence avec l’institution qui, justement, prétend détenir la seule légitimité en matière de pédagogie et d’enseignement : l’Éducation nationale. Tentation du monopole.

 

J’ai exercé le métier de Jean-Pierre Weyland et je me souviens d’un « stagiaire » en formation préparatoire au diplôme dont il parle qui, au cours d’une démarche de récit de vie, déclarait : « Quand mes parents m’ont demandé ce que je faisais puisque je leur disais que désormais, je gagnais ma vie, j’ai répondu "animateur socioculturel". Ils ont dit alors : "Oui, d’accord, mais comme métier ?" » Tout est dit en termes de méconnaissance et de déni de reconnaissance.

 

Je veux souligner un autre élément qui tient à la fois à la question du sujet et à celle de la formation. Le texte de Jean-Pierre Weyland ne passe pas à côté de ce qui constitue l’un des fondements sur lequel repose cet édifice fragile dont l’équilibre tient du miracle, qu’est un groupe en formation : tout ce qui touche aux affects, au désir et à la peur. Désir et peur d’apprendre, désir et peur de s’affirmer, de prendre le beau risque de la parole, jusqu’à cet étrange désir du formateur de créer, façonner les femmes et les hommes qu’il forme, c’est-à-dire désir d’enfantement. De tout cela, le livre nous entretient jusqu’à en montrer les effets en termes d’imaginaire de toute-puissance du formateur.

Il ne nous en cache pas pour autant - et aussi bien du côté des apprenants que du formateur - les doutes, les échecs, les moments de souffrance, les efforts et le vrai boulot que cela demande. Il nous donne aussi accès à la joie, au « gai savoir », à l’exaltation de ces moments où l’on découvre que l’on a grandi, au légitime sentiment de fierté d’avoir fait « du bon et beau boulot. » Il faut entendre ce jugement de valeur de trois points de vue complémentaires : efficacité, éthique et esthétique.

 

Enfin, je ne saurais passer sous silence la perspective « social-historique » - pour reprendre une formulation de Castoriadis – qui est celle que Jean-Pierre Weyland porte sur les histoires de vie – y compris sur la sienne. Aucun parcours de vie ne se déroule dans un vide social-historique. Tout au contraire, il est toujours tissé, tramé de valeurs collectives transmises, héritées. La « petite » histoire de chacun est traversée par la « grande », celle qui s’écrit avec un H majuscule. « Ce n’est pas la conscience des hommes qui détermine leur être, c’est inversement leur être social qui détermine leur conscience. » Jean-Pierre Weyland cite cette juste formule de Marx. Il la cite et ne la perd jamais de vue lorsqu’il pense sa propre histoire et celle des autres. Pour autant, il a cet optimisme du militant d’éducation populaire qui sait que les jeux ne sont jamais définitivement faits. Et heureusement. Le changement est possible. Mais il a pour condition nécessaire (bien que non suffisante) la prise de conscience par les sujets de ce qui les déterminent ou du moins, les influencent. De ce point de vue, l’auteur n’a pas lui non plus été sourd à la parole sartrienne qu’il a lue très tôt à travers « Les mots ». Il est resté fidèle à ce que Sartre – dont on omet souvent de rappeler qu’il portait un fort intérêt théorique et pratique aux biographies et parcours de vie – écrivait en ces termes : « L'important n'est pas ce qu'on fait de nous, mais ce que nous faisons nous-mêmes de ce qu'on a fait de nous. » Le récit de vie a cette fonction de mise au jour de ce qui fait que nous sommes ce que nous sommes et pas autre chose. Mise au jour et mise en mots, les deux sont inséparables. C’est ce que rappelle cet échange que Jean-Pierre Weyland relate et qui vient de Freud : une petite fille demande à sa tante de lui parler la nuit, alors qu’elle est dans son lit, pour avoir moins peur. L’adulte lui demande pourquoi puisque cela ne fait pas reculer l’obscurité. L’enfant répond : « Quand quelqu’un parle, il fait jour. »

C’est de cette parole là que le livre que l’on va lire est fait.

 

 

Alex Lainé, 13 juillet 2012

Docteur ès lettres, membre de l'Institut international de sociologie clinique

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18 décembre 2010 6 18 /12 /décembre /2010 13:44

La préface écrite par Jacques Ladsous :

 

 

 

PREFACE

 

De la chenille au papillon

 

 

« L’individu est le produit d’une histoire dont il cherche à devenir le sujet. » C’est par cette citation de Vincent de Gaulejac[1] que commence ce récit. Et cette histoire où s’entremêlent trois générations est bien porteuse de cet effet de recherche. L’auteur en est le sujet principal, mais ce n’est pas une biographie.

 

 

Une biographie comme l’écrit Bourdieu[2] est une illusion dans le sens où celui qui l’écrit, même si c’est l’auteur lui-même, veut prouver quelque chose et présenter les éléments de sa chronologie comme les jalons, les témoins d’une histoire signifiante. Une histoire de vie se présente comme une restitution par l’auteur des principaux moments qu’il a traversés, que ce soit dans l’ordre ou le désordre en soulignant très fort ceux qui lui sont essentiels. D’une histoire de vie on voit surgir non un portrait, un modèle mais une forme humaine qui se construit, qui se détruit  au gré des événements qui l’ont frappé. En ce sens, elle est référence pour chacun d’entre nous : nous y trouvons des résonnances, des émotions qui réveillent les souvenirs cachés, enfouis, heureux ou malheureux, comme si l’éclosion de la personnalité qui nous est présentée contribuait à nous éclore nous même là où nous n’avons pas eu le temps ni l’envie d’aller.

 

 

C’est exactement ce que j’ai ressenti au long de cette lecture : père, mère, divorces, frères, couple, désirs d’enfants, suivi d’enfant, folie rien ne nous est épargné de cette famille où Jean-Pierre « le petit » a fini par grandir et s’affirmer. Cette famille « ordinaire » n’est pas une famille comme les autres, car, de toute façon, sauf convention, il n’y a pas d’histoire familiale identique. Et nous épousons, au fil du récit, ses joies, ses craintes, ses souffrances, comme si, de la boite aux souvenirs surgissait en nous des êtres de chair et de sang dont, tout à coup, nous découvririons la vie intérieure.

 

 

Tout ceci dans un style magnifiquement rythmé, un peu semblable à une écriture cinématographique nous imposant, image après image, une succession de « scènes » qui s’enchevêtrent et tissent la vie. Tant de passions contenues, tant de douleurs assumées, tant d’espoirs entrevus : tout ce qui fait qu’une vie est rien moins que banale. Tout se passe comme si Jean-Pierre avait soulevé le couvercle qui abritait ces vies, pour nous laisser voir les chemins souvent tortueux que suscitent les découvertes et les événements rencontrés. Et de cet ensemble chaotique, l’homme, la femme finissent par surgir comme si, débarrassés de cette gangue lourde à porter, ils pouvaient enfin se trouver.

 

 

Tout au long de cette lecture, j’ai pensé aux métamorphoses du têtard à la grenouille, de la chenille au papillon, et j’ai compris, pourquoi, enfant, j’ai tant rêvé devant mon petit élevage de ver à soie, comme si à chaque éclosion se présentait l’image de mon futur.

Car si nous ne sommes pas maître des rencontres que nous faisons, des événements que nous vivons, nous n’en sommes pas moins responsables de ce que nous en tirons pour nous-mêmes comme pour les autres.

 

 

Jacques LADSOUS, éducateur, vice-président des Ceméa (Centres d’entraînement aux méthodes d’éducation active), secrétaire général du Musée social, vice-président du Conseil Supérieur du Travail Social de 1987 à 2002

 



[1] Vincent de Gaulejac – « L’histoire en héritage – Roman familial et trajectoires sociales » - Ed. Desclée de Brouer

[2] Pierre Bourdieu – « L’illusion biographique » -  Ed. du Seuil

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18 décembre 2010 6 18 /12 /décembre /2010 13:30

Vient de paraître

 

 

 

Édition -Diffusion


          

 

   5-7, rue de l’École Polytechnique 75005 Paris              

 

  Tél. 01 40 46 79 20 (comptoir et renseignement libraires)                                                    


 

 

 

« Un creux. Plus profond que les autres. L'appétit s'amenuise. La bobine se dévide en désordre. Effilochages de coton. Pris au dépourvu, j'essaie de rebâtir un scénario qui me saute des mains. Grand ménage d'hiver sur fond de tambours. Je fais tourner d'impressionnantes machines de nuit. Ecran noir sans sortie de secours. Laver le linge sale en famille, comme un sourd. » Ce récit se conjugue à l'imparfait du subjectif. Composition florale anarchique et rigoureuse. Tendre et abrasive. Cinéma-vérité ? Travelling, zoom avant, flash-back ; la caméra virevolte, soutenue par une épaule saccadée. Le torrent sort de son lit charriant agonies, dépressions, folie, ivresses, amour et passion pour mon, notre fils, Théo. Le cadeau de Dieu : Théodore qui se traduit par Abdallah en arabe. Qui a piqué les pièces du puzzle ? Et si le loup y était vraiment ? Quelle est la mission ? Dans chacune de nos têtes, on aurait dit l'amour et la mort. Qui tricotent.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Jean-Pierre Weyland est titulaire du Desjeps et du Defa, des diplômes de la branche de l'animation socioculturelle. Il est formateur aux Ceméa (association d'éducation nouvelle) et responsable artistique des Arts Mélangers, compagnie en résidence à Vauréal (95). Il écrit des fictions, du théâtre, joue et met en scène des spectacles. Il a été membre des équipes nationales des EEDF et de la JPA et directeur adjoint de la Maison de Quartier de Cergy-Saint-Christophe (95).

 

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Contact Promotion/diffusion

Marie-Anne Hellian –- Sciences Humaines

Editions L’Harmattan - 7, rue de l’École Polytechnique 75005 Paris Tél : 01 40 46 79 23/Fax : 01 43 25 82 03

marie-anne.hellian@harmattan.fr 

 



 

 

 

 

 

SOMMAIRE

 

PROLOGUE  Tu la vois celle-là ?

 

ACTE I             Et si le loup y était

 

Scène 1 :             Deux, trois secondes d’oiseau

Scène 2 :             Séance primitive

Scène 3 :            Le petit chiot

 

ACTE II             Le Cadeau de Dieu

 

Scène 1 :             Corde tendue

Scène 2 :             Le flamboyant

Scène 3 :             Moteur à explosion

Scène 4 :             Continent inconnu

 

ACTE III             Le miroir brisé

 

Scène 1 :             Allô, Maman, bobo

Scène 2 :             Tout puissant

Scène 3 :             Chaton dominant

Scène 4 :             Second de cordée

 

ACTE IV             M. Métastase et Mme Infarctus sont dans un bateau...

 

Scène 1 :             Le peu qui reste

Scène 2 :             La vie-métastase

Scène 3 :             Glissé entre les draps

Scène 4 :             La gerbe déliée

 

ACTE V             Journal d’errance

 

Sans entracte

 

EPILOGUE             Exigence de taille

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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                                                                        BON DE COMMANDE

A retourner à Jean-Pierre Weyland 19 rue du Ginglet 95 800 CERGY 

Veuillez me faire parvenir ....... exemplaire(s) du livre

L’imparfait du subjectif

au prix unitaire de 10,50 € (au lieu de 14,50) + 3 de frais de port, + 0,80 de frais de port par ouvrage supplémentaire, soit un total de ......... . 

NOM :

ADRESSE :

Ci-joint un chèque de ............ .  

 

 

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4 juin 2008 3 04 /06 /juin /2008 18:31

 « Et si le loup y était », de Jean-Pierre Weyland, maquette, Fred Jely, montage photos, Nadine Tetron

Bon de soutien : 20 euros

 Peur du vide. Au fond, tout au fond. Vrille d'acier perforant le nombril. Loup doté d'un passe universel. Mouchoir informe sur des angoisses en papier mâché. Arrière les méchants ! M'entendez-vous ? Le passé s'adosse au présent. A l'imparfait du subjectif. Les morts ne soufflent plus leur texte. Je tiens, Maman, c'est un peu dur par moment, mais je tiens. Bijoux rares en l'air. Cadeaux d'amour. De toute urgence, rester sur le pont. Laver à grandes eaux des tâches qui ne partiront pas.

  « Tu la vois celle-là ? », dis-je en plaisantant à mon fils en faisant mine de le gifler. Oui, je l'ai vue.

  Carambolage. Accidents en vue. Accidents dans le rétroviseur. Lumières clignotantes. Sapin de Noël. Ambulance. Placement d'office et car de police. Mes nuits sont bleues.

 

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27 novembre 2007 2 27 /11 /novembre /2007 18:12
NOUVEAU !!! UN BEAU CADEAU DE NOEL !!!!
 
 "JE VOULAIS ETRE DANSEUR" : le "book".
Texte du spectacle et photos montés par Jean-Philippe Weyland. Album original à commander pour fabrication à la demande. Tel pour renseignements : 06 83 08 38 90


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